Galilée, la naissance d'une étoile. 2/3.

Publié le par NOH Jules Verne


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Ce documentaire met en scène la deuxième partie de la vie du célèbre mathématicien et astronome italien. Des scientifiques éclairent ses multiples découvertes. L'occasion de rappeler en quoi il a bouleversé la science et la religion, et pourquoi il a dû abjurer.

2/3 Galilée, naissance d'une étoile

Galilée est un homme ingénieux : il met en application ses découvertes pour en faire des inventions dont il sait tirer profit. L'une d'entre elles, la lunette astronomique, va l'inciter à étudier le ciel. C'est alors que tout se complique.

Quelques années auparavant, le chanoine polonais Nicolas Copernic a ouvert une brèche en évoquant l'héliocentrisme : la Terre tourne sur elle-même et fait le tour du Soleil. Une théorie qui bouscule le système aristotélicien jusque-là en vigueur selon lequel la Terre est au centre de l'Univers.

Galilée va plus loin : il observe les montagnes de la Lune, les phases de Vénus, les satellites de Jupiter et la rotation du Soleil. Il n'y a donc plus un seul centre dans l'Univers. Ses recherches lui attirent l'admiration des puissants et les foudres de l'Eglise.


(Valentine Ponsy)





Publié dans Histoire des sciences

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J
<br /> Suite à mon article "Quand l'embarras crée une unité de comportement".<br /> <br /> Les religieux ont des concepts variant suivant leur appartenance à tel ou tel groupe, et les athées ou agnostiques également. Mais pourquoi donc se rangent-ils tous dans une même unité de<br /> comportement : mutisme ?<br /> . Les Protestants et les Évangéliques qui professent leur confiance dans les Saintes Écritures auraient dû se réjouir du fait que cette étude sémantique approfondie démontre que les Textes<br /> originaux de la Bible, depuis plus de 3000 ans, expriment, en langage clair, ce que Copernic et Galilée ont découvert et proclamé il n’y a qu’un peu plus de trois siècles et demi : la non-rotation<br /> du soleil autour de la terre.<br /> Mais cette vérité les dérange, non pas du point de vue scientifique, mais du point de vue biblique - leur Version de la Bible, à laquelle ils sont fortement attachés, affirmant la rotation du<br /> soleil autour de la Terre, se trouve ainsi contredite par cette étude. Ne voulant corriger leurs traductions, ils persistent donc dans l’erreur et dans le discrédit qui est tombé à tort sur la<br /> Bible lors de la condamnation du savant Galilée.<br /> . Les catholiques, en refusant également cette mise en conformité de leurs Versions avec les Textes originaux, partagent avec les Réformés la même responsabilité d’erreur et de discrédit de la<br /> Bible.<br /> Il est bien évident que l’Église catholique (non seulement de l’époque, mais aussi d’aujourd’hui), n’ayant pas décelé ces erreurs de traductions - elle, sensée détenir la suprématie en la matière -<br /> devra reconnaître officiellement cette lacune et la résoudre. Pour l’instant, elle n’a développé que des arguments qui n’ont pas mis un terme à cette problématique Affaire, Galilée n’ayant toujours<br /> pas été réhabilité.<br /> . Les athées ou agnostiques, même s’ils peuvent avoir quelques bonnes raisons de critiquer les religieux et les Versions de la Bible, se trouvent embarrassés en apprenant que les Textes originaux,<br /> dans ce domaine scientifique y compris, ne peuvent être contestés. Alors, comme les autres, ils s’abstiennent de tout commentaire.<br /> <br /> Le but de mon étude est d’obtenir :<br /> . non seulement la réhabilitation officielle de l’astronome Galilée,<br /> . mais aussi une véritable réhabilitation de la Bible - ses Textes originaux n’ayant jamais proclamé l’erreur de la rotation du soleil autour de la terre.<br /> Depuis plus de sept années je m’applique, dans mes divers courriers et courriels, à rappeler ces arguments, sans succès.<br /> À quelques rares exceptions près, les médias (presse, radio, télévision), les Associations organisant Salons du Livre ou Conférences pratiquent cette même “loi du silence”.<br /> <br /> Galilée a grandement marqué l’histoire. N’y a-t-il pas eu, durant l’année 2009, de nombreuses manifestations scientifiques le concernant et d'autres en 2010 ? Mais pourquoi donc ne veut-on pas<br /> aborder la question de sa réhabilitation ? Ne voudrait-on pas voir, un jour, Galilée enfin réhabilité ?<br /> <br /> En conclusion :<br /> Un terme doit être mis à la condamnation injuste de l’astronome. Non seulement sa réhabilitation doit être officialisée mais aussi celle de la Bible eu égard à ses Textes originaux.<br /> En décembre 2009, je suis intervenu auprès des autorités compétentes.<br /> Je reste à la disposition de toute personne ayant à cœur de voir la Vérité triompher.<br /> J’exprime ma reconnaissance à ceux qui m’ont aidé et encouragé dans cette tâche délicate. Tous mes remerciements, également, aux libraires qui ont bien voulu accepter d’exposer mon livre dans leurs<br /> rayons.<br /> <br /> Joël Col<br /> <br /> Pour plus d’informations consulter :<br /> http://monsite.orange.fr/erreur.verite<br /> http://monsite.orange.fr/autoedition<br /> http://monsite.orange.fr/autoedition.mgl<br /> Faire recherche avec :<br /> “joël Col” Galilée<br /> "joël Col" Lettre au Vatican.<br /> <br /> <br />
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J
<br /> LETTRE AU VATICAN<br /> Condamnation et réhabilitation du savant Galilée<br /> <br /> Il n'était pas de mon intention de diffuser cette lettre sur l'Internet.<br /> Je pensais retenir l'attention du Vatican en lui rappelant l'existence de mon ouvrage.<br /> Sa réponse évasive et brève, rejetant ainsi toute collaboration, m'impose de publier cette correspondance qui confirme l'embarras et le mutisme des milieux religieux à l'égard de mon étude.<br /> <br /> Consulter :<br /> monsite.orange.fr/autoedition.mgl<br /> Joël Col<br /> <br /> <br /> LETTRE AU VATICAN : Décembre 2009<br /> <br /> Aux bons soins de la LIBRAIRIE EDITRICE DU VATICAN<br /> À l’attention de Monsieur l’Archevêque Gianfranco Ravasi,<br /> Président du Conseil Pontifical pour la Culture.<br /> <br /> Veuillez m’excuser pour la liberté que je prends en vous écrivant.<br /> J’ai élaboré une étude sur l’implication de la Bible dans la condamnation de l’astronome Galilée, étude à laquelle j’ai consacré plus de douze années - je dois dire aussi que je l’ai traduite en<br /> anglais et en espagnol.<br /> Et dans cette étude - intitulée Entre Galilée et l’Église : la Bible - je démontre, verset après verset, que si les traductions de la Bible avaient été fidèles à leurs Textes originaux (hébreux et<br /> grecs) Galilée n’aurait pas été condamné par l’Église pour “avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux Saintes Écritures”.<br /> De nombreux arguments ont été avancés par l’Église pour tenter d’expliquer cette douloureuse Affaire, mais, il faut bien le constater, ces arguments n’ont jamais mis un terme à ce Conflit (Galilée<br /> n’ayant toujours pas été officiellement réhabilité par l’Église). On ne saurait négliger ce fait d’importance.<br /> <br /> Voilà 6 années que je publie cet ouvrage - mon premier exemplaire ayant été envoyé au Cardinal Paul Poupard le 14 novembre 2003. À ce jour, je n’ai pas eu la moindre contestation sur cette étude de<br /> la part du Vatican, ni d’ailleurs.<br /> Mon souhait serait de voir les autorités catholiques mettre un terme à la condamnation du savant en proclamant officiellement sa réhabilitation.<br /> Mais auparavant, il sera nécessaire que ces autorités reconsidèrent :<br /> . le motif de sa condamnation (motif rédigé par l’Église à l’occasion du procès du 22 juin 1633 “avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux saintes Écritures”),<br /> <br /> . ces erreurs de traduction de la Bible (mon analyse démontrant que dans les Textes originaux le soleil n’est pas dépeint comme un astre tournant autour de la terre, contrairement à ce qu’affirment<br /> leurs nombreuses traductions).<br /> Mon étude, par voie de conséquence, vise à ôter le discrédit qui est tombé sur ce Livre Saint. Et je pense ainsi avoir répondu aux souhaits du Pape Jean-Paul II qui déclarait :<br /> <br /> “Pour aller au-delà de cette prise de position du Concile, je souhaite que des théologiens, des savants et des historiens, animés par un esprit de sincère collaboration, approfondissent l’examen du<br /> cas Galilée, et, dans une reconnaissance loyale des torts, de quelque côté qu’ils viennent, fassent disparaître les défiances que cette affaire oppose encore, dans beaucoup d’esprits, à une<br /> concorde fructueuse entre science et foi, entre Église et monde. Je donne tout mon appui à cette tâche qui pourra honorer la vérité de la foi et de la science et ouvrir la porte à de futures<br /> collaborations.”<br /> <br /> Je suis à votre entière disposition pour répondre à toute question concernant cette étude.<br /> En attendant de vous lire, je vous prie d’accepter, Monsieur l’Archevêque, mes très respectueuses salutations,<br /> Joël Col<br /> <br /> <br /> <br /> Réponse du Secrétariat du Vatican le 25 mars 2010.<br /> <br /> Monsieur,<br /> Vous avez envoyé, voici déjà quelque temps, un courriel au Conseil Pontifical de la Culture. Vous y parlez de Galilée et de vos recherches sur la question intéressante de la traduction de la Bible<br /> à laquelle Galilée avait accès.<br /> Le Conseil Pontifical de la Culture, qui n'est pas la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, ne peut que vous encourager dans ces recherches. Comme vous le savez, c'est à travers l'initiative<br /> STOQ que ce Dicastère agit pour un dialogue renouvelé entre hommes de science et hommes de foi.<br /> Veuillez croire en notre cordial dévouement,<br /> Le Secrétariat.<br /> <br /> <br /> Réponse au Secrétariat le 25 mars 2010.<br /> <br /> Monsieur,<br /> N’ayant pas eu réponse de Monsieur l'Archevêque Gianfranco Ravasi à mon courriel de décembre 2009, renouvelé en mars 2010, je considère que le Vatican ne donne aucune suite à ma requête.<br /> Je pense aussi que les responsables de l’organisme STOQ (Science, Theology and the Ontological Quest) que vous citez auraient dû, en toute logique, être informés par vos Services de ma demande.<br /> Et je constate que mon étude – en votre possession depuis novembre 2003 – n'a suscité ni intérêt ni critique de la part des responsables en charge de cette Affaire.<br /> Permettez-moi de vous exprimer ma déception.<br /> Veuillez agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations,<br /> <br /> Joël Col<br /> <br /> ........................<br /> <br /> Une précision.<br /> <br /> QUAND LES LANGUES ANCIENNES CONDUISENT À LA VÉRITÉ.<br /> Le verbe grec ANATELLOO.<br /> <br /> Mais pourquoi a-t-on donc fait « SE LEVER » le soleil avec le verbe ANATELLOO ? L’étymologie de ce verbe grec autorise-t-elle une telle traduction ?<br /> <br /> Dans mon ouvrage Entre Galilée et l’Église : la Bible, j’ai étudié ANATELLOO à partir de 4 sources :<br /> . Version de la Septante,<br /> . Textes d’auteurs grecs anciens,<br /> . Dictionnaires grecs-français,<br /> . Textes originaux grecs du Nouveau Testament.<br /> <br /> Dans cette étude, j’analyse également d’autres verbes - hébreux et grecs - qui, sous l’influence géocentrique, ont été faussement traduits.<br /> Et ce sont ces erreurs de traduction qui ont ainsi impliqué la Bible dans la condamnation de Galilée par l’Église.<br /> <br /> ANATELLOO se rencontre encore en relation avec d’autres sujets grammaticaux :<br /> . les cheveux, la barbe,<br /> . les dents,<br /> . une plante,<br /> . la fumée, la flamme,<br /> . les épines.<br /> <br /> L’étude que je publie m’a conduit à conclure qu’ANATELLOO ne déplace pas plus le soleil que les autres sujets sus cités.<br /> Ainsi, si les traductions de la Bible avaient été fidèles aux Textes originaux hébreux et grecs, Galilée, pour avoir rejeté le principe de la rotation du soleil autour de la terre, n’aurait pas été<br /> condamné pour « avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux saintes Écritures ».<br /> <br /> Je suis à la disposition de chacun pour répondre à toute question relative à cette étude.<br /> <br /> Joël Col<br /> <br /> Écrire à :<br /> autoedition.meguila@wanadoo.fr<br /> <br /> .......................<br /> <br /> AFFAIRE GALILÉE<br /> Quand l’embarras crée une unité de comportement...<br /> <br /> Introduction<br /> Que nous soyons auteurs ou lecteurs, nous réagissons tous selon nos propres concepts, concepts qui nous conduisent à faire des analyses diverses sur des sujets donnés.<br /> Il est des sujets qui conduisent à émettre des analyses différentes, car ils font appel à notre subjectivité.<br /> . Si cette subjectivité est tendancieuse, elle conduira, bien souvent, au rejet pur et simple du raisonnement d’autrui.<br /> . Si elle est bien fondée, elle permettra, par contre, d’accepter – ou tout au moins de reconnaître - la logique de raisonnement de chacun, même si cette logique débouche sur des conclusions<br /> différentes. Cette subjectivité pourra être qualifiée d’ouverture d’esprit.<br /> Il est donc des sujets pour lesquels il est difficile d’établir une seule et même analyse, acceptée de tous, car elle fait appel à la subjectivité des uns et des autres.<br /> Mais il est d’autres sujets qui font appel à une pure analyse de faits. De ces sujets devrait donc apparaître un consensus d’idées, à condition, toutefois, que l’objectivité ne soit pas détrônée<br /> par une subjectivité sous-jacente forte, venant d’un esprit sectaire.<br /> L’analyse de mon étude “Entre Galilée et l’Église : la Bible” impose aux divers commentateurs de suivre des règles grammaticales et sémantiques, bien établies.<br /> <br /> Qui sont ces commentateurs<br /> Il y a :<br /> ceux qui ont lu l’étude,<br /> ceux qui ne l’ont pas lue.<br /> . Les premiers, bien qu’ayant été peu nombreux, ont tous émis des commentaires très favorables.<br /> . pour les seconds, il faudra considérer :<br /> - ceux qui, à cause du sujet traité et pour des raisons personnelles, ne lui ont témoigné aucun intérêt,<br /> - ceux qui, tout en n’ayant pas lu l’ouvrage, l’ont a priori critiqué vertement ou rejeté. Peu avisés ils ont manifestement entremêlé objectivité et subjectivité, rejetant d’emblée les bases<br /> d’analyse qu’impose ce type d’ouvrage.<br /> <br /> Pourquoi ce rejet a priori ?<br /> Ce rejet vient de la part de personnes associées à des milieux très divers :<br /> . les unes appartenant à des communautés catholiques, protestantes, évangéliques ou juives,<br /> . les autres à des milieux agnostiques ou athées.<br /> Mais il est un fait surprenant : tous, qu’ils soient religieux ou non, ont eu une même réaction : mutisme quasiment complet à l'égard du livre.<br /> Les religieux ont des concepts variant suivant leur appartenance à tel ou tel groupe, et les athées ou agnostiques également. Mais pourquoi donc se rangent-ils tous dans une même unité de<br /> comportement : mutisme<br /> <br /> <br />
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